Didier COLPIN

colpin.didier@gmail.com

Didier COLPIN est né en 1954 dans une petite ville de l’Ouest de la France. Il a découvert l’écriture et la

poésie « sur le tard », en 2010.

Depuis elle est devenue sa compagne de tous les jours...

Deux muses aiment venir le hanter : la Femme et la mort ou dit autrement l’amour et le sens de la vie.

La poésie est pour lui le contraire de Twitter et de sa rapidité. Elle est un arrêt sur image... Sur un émoi,

sur un trouble, sur la Beauté, sur la laideur.

Le tout vu, ressenti à travers le prisme qu’est son regard où deux plus deux ne font pas toujours quatre...

Par le petit côté de sa lorgnette...

Il écrit sans chercher à échapper à ses propres contradictions, en suivant l’objectivité de sa subjectivité (à

moins que ce ne soit le contraire) et en essayant, avec plus ou moins de ‘succès’, de respecter l’esprit de la

prosodie classique, passionnant Rubik's Cube, vaste gnose, vaste ésotérisme...

Mais sa poésie n’a que peu de ponctuation : il aime l’aspect épuré de poèmes ainsi dénudés.

Il vit l’Humanité comme étant, au-delà de l’espace et du temps, un tout universel (la poésie en est un

miroir) et la francophonie comme étant un sous-ensemble de ce tout.

Cela pour dire qu’il apprécie d’avoir été publié, bien sûr en France, mais aussi au Canada, au Sénégal, au

Cameroun, en Tunisie et au Congo.


J’écris beaucoup.

Quelques centaines de poèmes par an qui n’ont pas -ou rarement- de fil conducteur les unissant les uns aux autres.

Et puis, parfois, une idée de recueil thématique surgit. Pour le constituer, je vais alors puiser dans le stock de poésies écrites avec le temps.

Le thème peut être soit une forme commune, soit un fond commun.

Pour celui-ci, en ne tenant compte ni du du nombre de pieds, ni des sujets abordés c’est le début du titre qu’ils partagent, à savoir « Au pays de » ceci ou cela...

Dans le lointain sillage de l’ouvrage "Au pays de la Magie" d'Henri Michaux : la poésie comme « traduction du monde » de Dominique Poncelet.

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Régulièrement Didier COLPIN puise dans le flot linéaire de ses poèmes écrits jour après jour un certain nombre de textes pour constituer des recueils ayant un thème conducteur (comme la mort, la Femme mais aussi le rock, la guerre, la Bible, la religion, l'Art, le sens etc).

Il a opéré ici de la même manière, mais plutôt qu'un fond commun c'est une forme particulière qui les unit : ce ne sont que des alexandrins, terme directement lié à la Grèce antique et à Alexandre le Grand.
D'où le titre 'BEAUTÉ CLASSIQUE EN MIRE...'.
'En mire' car cette beauté est comme un objectif à atteindre. Mais les secrets de la prosodie classique étant si vastes, la prudence s'impose...
 
La plume de Didier COLPIN plonge dans l'encre de l'Humaine condition tantôt claire, tantôt sombre...
Et le sens ressenti en parcourant sa poésie est obligatoirement le bon puisque l'interprétation appartient au Lecteur... 

Chaque volume de cette anthologie renferme 70 poèmes.

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Quelques mots pour présenter cet ouvrage.

Souvent un poème naît en génération spontanée et en interprétation libre de deux ou trois mots, d’une affiche, d’une musique, d’un hasard…
Parfois, beaucoup plus rarement, ce processus créatif engendre un recueil. Citons celui sur la guerre en Ukraine et aussi celui né du thème du Printemps des Poètes 2022, à savoir ‘L’éphémère’.
Si la grande majorité de mes ouvrages thématiques sont des compilations de poèmes existants écrits jour après jour, ce n’est pas le cas ici. En effet, si je l’avais fait, j’aurais eu l’impression de servir du réchauffé et de trahir le ‘feu bouillonnant’ qui m’anime alors.
C’est un tel ressenti qui s’est imposé à moi à la découverte du thème du Printemps des Poètes 2024, La Grâce…
Vaste sujet... Et -donc en génération spontanée- les poèmes sont sortis de mon encrier comme d’un geyser…
Mon recueil consécutif au Printemps des Poètes 2022 ne renfermait que vingt poèmes. Un choix. Pour être en adéquation avec le thème.
Cette même logique, appliquée à La Grâce devrait donc conduire à un ouvrage renfermant des centaines et des milliers de poésies…
Symboliquement, comme pour juste dépasser l’éphémère, Dame Muse, en a voulu vingt-un. Soit juste un de plus.
Il y a deux ans, Jean-Yvon Lafinestre avait accepté sympathiquement de me rédiger une préface. Vu le contexte identique (le Printemps des poètes), logiquement je l’ai à nouveau sollicité.
Je le remercie vivement de m’avoir répondu positivement et d’avoir été très réactif dans sa rédaction !
'Grâce’, dans une onde est le premier mot du premier poème…
...dans une onde le dernier mot du dernier poème est ‘Grâce’.

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' La poésie est pour Didier COLPIN, qui écrit dans un style néoclassique, le contraire de Twitter et de sa rapidité. Elle est un arrêt sur image… Sur un émoi, sur un trouble, sur la Beauté, sur la laideur. Le tout vu, ressenti à travers le prisme qu’est son regard où deux plus deux ne font pas toujours quatre… Par le petit côté de sa lorgnette…
Voilà ce que Didier COLPIN précise au début de cet ouvrage qui renferme une cinquantaine de poèmes :
« Je laisserai notre ami le préfarceur Chat GPT présenter la forme et le fond de ce recueil. Mais pourquoi l'avoir sollicité ?
(...)
J'ai tenté l'expérience sans véritable raison, histoire de, 'pour le fun' en me disant aussi 'et pourquoi pas !'…
Le résultat est ‘moyen’…
Mais demain ?
Comment ne pas se souvenir de Baudelaire qui,confronté à la photographie naissante, disait, pour défendre l’art pictural, que jamais les photos ne pourraient saisir les couleurs…. »
Si plusieurs livres sont déjà écrits par ChatGPT, il semblerait que celui-ci soit LE PREMIER à être préfacé par cet outil de l’intelligence artificielle.'

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"Ce recueil est né de ce constat -la mortalité- qui fait aussi l’Humaine condition ...


BAIN D’ÉVANESCENCE…

Un matin tu nais
Baigné d’innocence

Le midi tu sais
Baigné d’assurance

Un soir tu te tais
Baigné de silence…"


"Nos jours vont pour faire nos semaines. Bien rapidement…

Nos mois vont pour faire nos années. Tout pareillement…
Au final le tout fait notre vie. Précipitamment…

Ce ressenti est à l’origine du titre de ce recueil : « Parfums d’éphémère...».

Mais pourquoi ‘parfums’ au pluriel ? Les poèmes qui le constituent sont nés -en interprétations libres- uniquement exclusivement, de l’étymologie du nom des jours et des mois.
Et ils ont tous , ou presque, une spécificité, un arôme particulier..."


Ce recueil contient l’intégralité des poèmes écrits en 2022, soit un peu moins de 440.

C’est beaucoup... Mais de la même façon que par tous les temps, certains se lèvent et se doivent d’aller faire un footing, par besoin, par nécessité -ce qui n'est pour eux ni une coquetterie, ni une fantaisie-, en ce qui me concerne, c’est l’écriture qui est on oxygène…

Mais pourquoi ce titre, « POÉSIE, grandeur des vers et taille des pieds... » qui ne veut rien dire ?

Justement pour cela... Par dérision. Pour souligner mon éloignement de la poésie qui -à mes yeux- s’enferme dans une grandiloquence pédante et que je vois comme un tableau couvert de poussière dans un musée froid et mal éclairé.

Je salue au passage Fabrice Luchini qui a su la sortir de ce ghetto.

Ma plume, qui ne cherche rien, sinon s’offrir à Vous avec sincérité, plonge souvent dans l’éternité de l’Humaine condition mais aussi dans le tragique de l’actualité comme, par exemple et entre autres, l’Ukraine.

 

 

D.C. - Fin décembre 2022


Jamais le plus convaincu des prédicateurs de l’athéisme ne sera suffisamment convaincant pour éluder la question du sens.

Celle qui nous frappe au plus profond de nous-mêmes lorsque le réel se fissure pour nous engloutir en nous imposant l’inimaginable…

C’est aussi -avec les questions engendrées par l’existant- de cette brèche que naît le sentiment religieux.

Sentiment unique et universel ayant une multitude infinie de rameaux.

Question unique et universelle, -celle du ‘Pourquoi’- ayant une multitude infinie de réponses.

Ce recueil surfe sur celle apportée par le courant dualiste qui de Zoroastre aux Cathares, en passant par les gnostiques et Mani nous donna les mots manichéen et manichéisme.

 

Il est un peu comme une suite de « Quête du sens... » (février 2020) et de « Sa majesté la Mort » (mars 2022).


« Attention, un poème peut en cacher un autre !

Cette formule aurait pu aussi servir de titre à ce recueil. En effet il m’arrive parfois de penser qu’un poème est terminé, mais c’est oublier un peu rapidement Dame Muse, celle-ci, souvent le lendemain mais quelquefois plusieurs jours après, revenant me voir avec la même idée, abordée sous un angle différent.

Alors je me remets à l’ouvrage avec une forme qui est généralement identique, mais cette règle n’est pas absolue.

Voilà donc la trame de cet ouvrage : Il renferme les dits poèmes (les plus récents) qui sont présentés en duo -page gauche/ page droite-, comme pour créer un effet miroir (miroir parfois déformant...)

Plusieurs ont été écartés à cause de leur longueur, les deux faisant plus d’une page, ce qui rendait impossible l’effet recherché.

Le fond lui, sans grande originalité, puise dans l’Humaine condition vue par le prisme de ma temporalité..."

 


"Régulièrement Didier COLPIN puise dans le flot linéaire de ses poèmes écrits jour après jour un certain nombre de textes pour constituer des recueils ayant un thème conducteur (comme la mort, la Femme mais aussi le rock, la guerre, la Bible, la religion, l’Art). Il a opéré ici de la même manière, mais plutôt qu’un fond commun c’est une forme particulière qui les unit : ce ne sont que des alexandrins, terme directement lié à la Grèce antique et à Alexandre le Grand. D’où le titre ‘BEAUTÉ CLASSIQUE EN MIRE…’.‘En mire’ car cette beauté est comme un objectif à atteindre. Mais les secrets de la prosodie classique étant si vastes, la prudence s’impose… La plume de Didier COLPIN plonge dans l'encre de l'Humaine condition tantôt claire, tantôt sombre...Et le sens ressenti en parcourant sa poésie est obligatoirement le bon puisque l’interprétation appartient au Lecteur… Ce 7° volume renferme, comme les 6 qui le précèdent,70 poèmes, soit ni trop, ni trop peu."


"Dans une grande banalité culturelle, mes racines se décomposent en deux grandes familles. L’une est judéo-chrétienne, l’autre est gréco-latine. L’une et l’autre avec les siècles et les siècles ont façonné l’Occident et j’en suis un fils.

Nombre de noms du panthéon antique (le grec et le romain au-delà de leurs terminologies différentes n’en forment qu’un) sont entrés dans le langage commun. Non pas en invocations spirituelles ou magiques à des divinités, mais de façons allégoriques. L’exemple type de ce glissement est l’expression connue de tous :

« Être dans les bras de Morphée » (le dieu des rêves). Tout le monde comprend qu’elle signifie bien dormir d’un sommeil profond et personne ne pense à celui qui se nomme ainsi, à savoir le fils d’Hypnos (le dieu du sommeil) et de Nyx (la déesse de la nuit). De la même façon le terme ‘muse’ est synonyme aujourd’hui de source d’inspiration et aucun de nous ne fait, en l’utilisant, une quelconque référence aux neuf déesses qui présidaient les arts. Les 33 poèmes de ce recueil sont dans cet esprit, citant un nom (ou plusieurs) de ce panthéon venu tout droit de l'antiquité."


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